Actualit?s du monde № 1. Учебное пособие по французскому языку
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éventré adj pa3eopo4eHHbll
jonché adj ycblnaHHbll
débris m OCKOOK, 06OMOK
carcasse f cKeneT; OCTOB, KapKac
aplati adj cnHHbll
voiture f MaWHa, aeToMo6b
temoigner , vi ce�eTebCTBoeaTb
passage m npoxoA; npoe3A
centre m 4eHTP
culturel a KYbpHbll
français adj paH4Y3CK1
s'initier v pr à npo6�TbC
langue f 3biK
Molière Monbep
cinquième a nTbll
étage m 3Ta
immeuble m AOM, 3AaHe
moderne adj HOBbll; coepeMeHHbll
ravagé adj pa3pyweHHbll
mur m CTeHa
tapisser noKpbiBaTb cnnowb, 4eKOM
impact m de balle Bbi60Ha, cneA oT nyn
toujours adv ecë eë
quaier m général = QG a6-KeapTpa
Mouqa'a - r. MyKaTa
quarantain� f OKOO copoKa
pacifiste m na4CT
occidental adj 3anaAHbll
condition f ycnoee
hygiène f rreHa
épouvantable a yaCHbll, pawHbll
eau feoAa
couper BbiaTb
semaine f HeAe
arriver npe3aTb, np6biBaTb
irrégulièrement adv HepenpHo
hôpital m 6onbH4a; rocnTb
medecin m epa4
débordé adj 3aeaneHHbll pa6oTol
manquer vi, v impers HeAOCTaeaTb
peonnel m nepcoHan; KaAPbl
épuisé adj 3HypëHHbll, 3MOTaHHbl
récupérer 3a6paTb
mourir vi yMpaTb
morgue f Mopr
trop adv (c npun u Hape) WKOM
petit a ManeHbK1
fa lloir v impe HaAO, HYHO
creuser pb1Tb, KonaTb
improvisé adj MOAebHbll
parking m napKOBKa; CTOHKa
paout adv ee3Ae, BCAY
patient m, f na4eHT(Ka)
alo que - e TO epeM KaK
plus tard - no3AHee
mari m My
raccompagner npoeoTb
femme f eHa; eHHa
accouchée fpoeH4a
abare y6BaTb
horreur f c;
probablement adv eepoTHO
aeindre AOCTraTb
ces deie jou - e nocneAHee epeM
nord m ceeep
vieux adj (vieil, vieille) cTapbll
Naplouse fr. Ha6nyc
camp m de réfugies narepb 6eeH4ee
Jénine - r. eHH
rappoer nepeAaBaTb; npBOATb
UNRWA - areHTCTBO OOH A noMO
opraH3a4 pa6oT
chargé a OTBeTCTBeHHbll
actuellement adv e HacTOee epeM
n'est rien de moins qu- He O Hoe, KaK
peser ses mots -B3BeWBaTb ceo cnoea
mardi m BTOpHK
parler vi, roeopTb
week-end m yK-3HA, KOHe4 HeAe
centaine f COTH; OKOO CTa
corps m Teno
allongé a neall
Massada - r. Macca
confier noATBepaTb; YTBepaTb
quotidien m eeAHeBHa ra3eTa
citer 4TpoeaTb
commandant m KOMaHAP
secteur m ceKTop; y4aCToK; Meo
geste m nocnoK
symboliser CMBO3poeaTb
courage m xpa6poCTb, cMenob
patriotis m naTp0T3M
pendant adv eo epeM; e Te4eHe
romain a pMCK1
av. J.-C. - AO H.3.
réfugié adj yKpbiBWiC
citadelle f Kpenob
surplomr HaBCaTb
préférer qch à qch npn04TaTb
reddition f a4a, KanTy4
dans mouchoir m de poche - Ha
ManeHbKOM npOpaHCTBe
kilomètre m carré KBaApaTHbll KOMeTp
combaant m 6oe4
refuser OTKa3biBaTbC
se rendre v pr aBaTbC
se bare v pr cpaaTbC
pied à pied - 3A. ynopHo
kalachnikov m aeToMaT KanawHKoea
hélicoptère m eepTonëT
avion m caMonëT
finalement adv e KOH4e KOH40B
tomber vi pyXHYTb; nab
armée f apM
perdre TepTb
selon les sources - coacHo CT04HKaM
commencé adj Ha4aTbll
en dépit de - HecMoTp Ha, eonpeK
inteention f BMewaTebCTBO
véhicule m blindé 6poHeTeXHKa
énoe adj orpoMHbll
bulldozer m 6ybA03ep
ouvrir la voie - OTKpbiBaTb nyTb
ruelle f nepeynoK
étroit a y3K1
en démolissant - pa3pywa
les unes après les autres - OAH 3a
APYrM
parpaing m o640B04Hbll KaMeHb
com autant de châteaux de caes -
KaK KapT04Hble AOMK
enfant m peHoK
enfuir (s') v pr y6eraTb; c6eraTb
terroriser Teppop3poea
loin adv AaneKo
cas m y4al
Liban m nBaH
il y a 20 ans - 20 neT (ToMy) Ha3
lo de - eo epeM
massacre m 36eHe; 3H; y61CTBO
allié m CO3HK
milice f onon4eHe
libanais a BaHCK1
savoir 3HaTb
soutenir noepBaTb
mener la lue - eeCT 6opb6y
jusqu'alo loc. adv - AO Tex nop
en toute impunité - coeceM 6e3HaKa3aHHO
terrorisme m Teppop3M
temps m epeM
révolu adj oKoHYeHHbll
sembler vi Ka3aTbC
à deux reprises - e ABa pa3a (npëMa)
passé a npobll, npoAwl
americlain, -aine adj aMepKaHCK1
demander npocTb K.-. enaTb 4TO-.
19
retirer ses troupes 3A. OT03BaTb eo�cKa
immédiatent adv He3aMeATebHO
teiner 3aKaH4BaTb
travail m pa6oTa, TpYA
repliquer , vi B03paaTb; OTBe4aTb
cees adv KOHe4HO
replier OTBOATb (eolcKa)
non sans - He 6e3
faire sauter - B3pbiBaTb
seice m de nseignement pa3BeAKa
vestige m eA
ce même jour - e 3TOT e AeHb
village m AepeBH
sud m r
Hébron - r. XeepoH
investir ocaaTb (ropoA)
se passer v pr npoCXOATb
entamer noAopeaTb; noKone6aTb
confiance fAoeepe
comprendre noHMaTb
objectif m 4eb
seulent adv TObKO
éradication f CKopeHeHe
destruction f pa3pyHe, yH4TOeHe
expliquer o6bCHTb
diplomate m AnnoMaT
européjen, n ne adj eeponelcKl
pression f AaeneHe
ainsi que - TaK e, KaK
pape m nana (PMCK1)
diiculté fTPYAHOCTb, OHOCTb
agir vi AelcTeoeaTb, nocnaTb
demain adv 3aBTpa
Irak m 1paK
si conj ecn
s'apaiser v pr ycnoKaeaTbC, YTXaTb
risque m pCK
eension f pacnpocTpaHeHe
oublier 3a6bJBaTb
eventuel adj B03MOHbll; eepoTHbll
menace f yrpo3a
peser vi sur, contre AaBTb Ha
securité f 6e3onacHOCTb
ambassade f noconbCTBO
à l'étranger - 3a rpaH4el, 3a aH4Y
raison f AOBOA
embarras m 3aTpyAHeHe
devenir vi AenaTbC, CTaHOBTbC
encombrant a oM03AK1
jusqu'où - AO KY A a
pouvoir M04b
dans l'immédiat- B HaCTO MOMeHT
question f eonpoc
sanction f caHK4; HaKa3aHe
obliger o63biBaTb; 3aCTaBTb
conférence f KOHpeH4
Madrid m MaAPA
obtenir nony4Tb; A06TbC
retrait m OTCnneHe
appel m np3biB
arrêt m oCTaHOBKa
sauver cnacaTb
envoyé special - cne4abHbll
KOppecnOHAeHT
face f 40
faire le tour- o6o1T (eoKpyr)
région f o6nab; peoH
Maroc m MapoKKo
Egypte [e3ipt] f EneT
Jordanie [3ordani] f 1opAaH
tee m TeKCT
remere qn en selle - noM04b KOMy-n.
nonpaBTb ceo Aena
élu, -e adj 36paHHbll
appeler à np3biBaTb
reconstruction f peKOHCTPYK;
politique a nonT4eCK1
camouet m o6Aa, ocKop6neHe
NOUVELOBS 18/06/04
Il y a 64 ans, l'appel du 18 juin
Il y a 64 ans, la France entrait pour de bon en résistance fa ce à
l'occupant allemand. La veille, le 17 juin, le Maréchal Pétain s'était
proclamé à la tête du gouvernement et avait appelé les Français à
cesser les combats. De Gaulle alors à Bordeaux s'était immédiatement
envolé pour Londres et avait rencontré Churchill le jour même au 10
downing Street. Le sous-secréta ire d'Etat au ministère de la Défense
nationale et de la Guerre est alors un quasi-inconnu. Le 18 juin au
matin, le général de Gaulle commence à rédiger son texte. Vers 16h00,
il apprend que le cabinet britannique réuni, sans Churchill, a décidé de
refuser la diffusion de son texte sur la BBC. Il fa udra l'intervention
personnelle de Churchill pour que le cabinet accepte. A 18h00, le
général de Gaulle arrive dans le bureau B2 de la BBC. Maurice Thierry, un Français chargé des
émissions, annonce: "Le général de Gaulle va parler aux Français".
Ce gouvernement, alléguant la défaite de nos armées, s'est mis en ra pport avec l'ennemi
pour cesser le com bat". L'a ppel se termine par ces deux phrases gravées dans l'histoire : "Quoi
qu'il arrive, la flamme de la résistance frança ise ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas.
Demain, comme aujourd'hui, je parlera i à la Radio de Londres. "Le lendemain, le domicile londonien
du général voyait aluer des femmes et des hommes prêts à entrer en Résistance. Le général
de Gaulle avait gagné son pari. Cet appel à la Résistance a été renouvelé le 22 juin.
Le président Jacques Chirac s'est rendu vendredi matin au Mont Va lérien, près de
Pa ris, pour se recueillir dans la crypte où reposent les cendres de combatta nts . Revenu
dans la nuit de Bruxelles, où se tient depuis jeudi le sommet de I'UE élargie, Jacques
Chirac est reparti dans la matinée vers la capitale belge pour la suite de la réunion des
chefs d'Etat et de gouvernement des 25. Après les honneurs de la garde ré publicaine
sur l'esplanade du Mont Va lérien, le président de la Ré publique a écouté au garde-à
vous la lecture de l'Appel, devant la grande croix de Lorraine en granit rose. Il a ensuite
pénétré dans la crypte pour s'y recueillir, en compagnie du Chancelier de l'Ordre de la
Libération, le général Alain de Boissieu, gendre du général de Gaulle. C'est dans cette
crypte que sera enterré le dernier Compagnon de la Libération.
LE MONDE 14/07/04
Interview du 14 Juillet : que va dire J.Chirac ?
Dans un contexte marqué par les échecs électoraux de la
droite, la popularité écornée de Jea n-Pierre Raffa rin, les
bagarres pour la présidence de I'UMP et l'offe nsive de
Nicolas Sarkozy, l'interview télévisée de Jacques Chirac,
mercredi à 13 heures, prend un relief particulier. Le
président pourrait également s'expri mer sur les 35 heures
et revenir sur l'affa ire du RER D.
A mi-parcours de son second mand at, confronté à une
situation politique incommode, le président de la République devrait
s'attacher à évoquer une ère nouvelle, dans la perspective des
échéances de 2007, et s'employer à redonner de la cohérence à son action, alors que le
ministre de l'économie vient d'expliquer les revers électoraux de la droite par le fa it que les
Français "n'ont pas compris où nous (la droite) voulions les emmener".
Nicolas Sarkozy, le populaire et indocile ministre d'Etat qui affiche clairement les
plus hautes ambitions, a voulu marquer sa place dans le débat par une interview accordée
au Monde daté dimanche-lundi. Empiétant sur les plates-bandes de Jacques Chirac et du
premier ministre, le ministre de l'économie s'y est exprimé sur tous les sujets d'actualité
sur lesquels le président sera conduit à parler mercredi. Après les "réformes" menées à
bien -ou en voie de l'être - par le gouvernement (retraites, Charte de l'environnement,
assurance-maladie), le chef de l'Etat table sur un retour de la croissance, avec des
emplois à la clé. La "cohésion sociale" devrait inspirer cette seconde partie du quinquennat,
sous le thème de la "croissance partagée".
20
il y a ans - rDA8 (ToMy) Ha3
apl m du 18 juin - np13biB 18 1
Fnce fpaH�
entrer en ristance Bna s
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Londr m noOH
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le 10 ding Strt - pe3eH
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MHcrpa 8enKOÔpTaH1
sous-secrétaire m d'Etat nOMOK
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la Ge sHH MHeo Hbl
quasi-ionnu a n He3Bbll
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général m reHep
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décider de (fai ) -
fuser oTKa3biBa; He npHMa
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BBC - 1H�pM. areHso 661-C1
falloir v impe Ho, HO
inteention f BMeTenbo
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accepter npHM; aTbC
arriver vi npe3, npO
bureau m Ka61Her, KOopa; 6O
chargé a OeTeHHbll 38. ..
émission fneYa (p, T)
annoncer OObb
rler , rosop1
fla f aM
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ce ier - noeAH11
prendre 6pa
micro m MH
chef m HaYbHK, pyKoBOATenb,; a
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se teiner v pr r 3aKaHYBaC YeM-n
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graver 3anaTnesaTb (e na, pA�)
histoire f1op
quoi qu'il aive -YTO Ôbl H Yb
voir Ôb AObiM, 3OTb
s'eteindre - raCH; yra
in a 3aBTpa
c aujourd'hui - KaK 1 œrOAH
radio f p1o
lenin m 3aBTpa; �l AeHb
domicile m MoTenbso, 1
londonien a noOH1
voir Be; OT
aluer eKaC, np6b1b
fem f eH1Ha
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prêt a à rDTOBbll K YeMy-n
gagner pari Bb11rpb1Ba nap1
renouveler B03o6HOb
se reci IIi r - 61paTb c MbiM
présint m n3e
se rendre v pr ompa
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près ris nOA napM
crypte f Kp1ma, n
où a, p rAe; A8
reser l cendres noKO npax
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revenir vi B03Bpa 13 ...
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uxelles (b&l] f 6plb
se tenir v pr npo
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capitale f on1�
lge a bICK1
suite f npoAoKeHe
réunion f cpaH1e
chef m d'Etat - maea rAaa
honur m Ye; n
garde f Kapayn
républicain a y6KaH1
esplade f ob
écoer cny
garde-à-vous m croKa "pHo"
lecture f eHe
vant prép ne. sne; so3ne, K
gnd a nbI
croix f K
Lorraine f nopH
gnit(e) [granit] m aH
re a po30Bbll
euite a noToM, 3aTeM
nétrer vi, nH1Ka
en cgnie -s coneH1
cncelier m KaHep
ordre m opAeH
Ution f o6oeH1e, nep
OCB0eH OT rneBOI OKna1
s 14 r.
ndre m 3
enterrer xopoHb
inteiew f 1HTepBb
juillet m 1b
dire a3a; rosop
contee m KOeK
rquer noMa; B MeTKY
éche électo nopa>KeHe Ha Bbipax
droite f npa opoHa
pularité f nonynpH
écor HaH ylp6
gae f APaKa
présie f n n3eH
UMP = Union ur la j oté présidentielle
napT npaBb
21
oensive f HaeHe
télévisé a TeneB310HHbll
heure fyac
prendre un lief paiculier - np1HMaTb
OÔbll T
pouvoir MOYb
égalnt adv 0AHaKOBO; Tae
s'erir v pr Bblpa>C
aaire f Aeno
RER nH CKoHoro MeTnoneHa
à mi-rcou - Ha non
sond at m-BTol oK
confronter vi KTb
situation f politiq - no a�
inc a HeyAo6Hbll
Républiq f Pny6n1Ka
s'aacher v pr à MC
évr Bbl3biBa; ynOMHa
ère f nouvelle HOB8 3pa
ctive f nepcnesa
héance fcK aTe; cK
s'employer v pr 3aHMaTbC
redonner sœspaTb
corence f CB3aHH
action f nnoK; Ael1e
alo q - B TO BM KaK
ministre m l'onie H 3KOHOMK
venir de (c Heonp aaa) - TObKO YTO
reve m opoTHa oHa; 13HaHKa
fait m
comprend noHMaTb
nous pn Mbl
vouloir xoTe, ena
er ys; yso3
pulaire a nonynpHbll
indocile a Henybll
aic f a1, o6bBneHe
clairent adv CHO
pl adv nb
*ha a BbiK1
ambition f Yo1e
place f Mo
dét m eH1e; mop
accorder asbiBa
dater A8saTb
dinc m sKpHbe
lundi m noHenbHK
empiéter sur l plat-n -
y Yb-n. 1epecbl
premier minist - nMbeMH
sujet m TeMa; nMeT
actualité f AelenbH
être conduit à faire q - 6b
BbieHHbiM enb YTn
réfo f �pMa
ner à B; B; B K . . .
bien m A; 6naro; nonb3a
OU cj 1; MOT
en voie de l'être - Ha K 3TOMy
retite f neHC
Ce de l'environ -3aKoH o6
OKpy>el e
assunce-ladie f crpaxosaHe Ha
yal ne3H
tabler sur iBaTb Ha. ..
retour m B03BpaH1e
croissance f ysen1YeH1e
emploi m pa6oTa; pa Mo
à la clé - s 3asepH1, s KOHe Aena
sial a BeHHbll; bHbll
inspirer BHY; BAOXHOBnb
secon ie du quinqnnat - BTOpa
nonos1Ha npe3eHTCKoro cKa
so le t AeB30M
croissance f ae 1
LE FIGARO 19/07/04
George W. Bush : << L'Amérique doit diriger .. . >>
Dans une interview exclusive de cinquante-cinq minutes,
George W. Bush balaie toutes les critiques concernant sa
politique au Moyen-Orient. Il défend sa gestion de la crise
irakienne et se dit déterminé à concrétiser sa «vision» du
Moyen-Orient. Le président amé ricain juge que les événements
correspondent aujourd'hui à ce qu'il avait prévu.
- Etes-vous tro ublé par la violence des critiques concernant votre
politique en Irak et au Moyen-Orient ?
George W. Bush. - Je pense que le travail d'un dirigeant est
d'avoir une vision optimiste, pleine d'espoir et fondée sur un certain
nombre de principes, comme la force du droit et un traitement juste et
équitable pour tous. Je me refuse à abandonner ces principes, quelle que soit la pression
exercée. L'Amérique doit diriger, même si cela déplaî t à certains. Ceux-là mêmes qui apprécieront
dava ntage un monde en paix, grâce à la volonté des Etats-Unis de lutter contre Al Qaida et
d'oeuvrer pour des sociétés libres en Irak et dans les territoires palestiniens. Ma vision est celle
d'un Irak libre et démocratique, et celle d'un Etat palestinien libre et en paix qui servirait de
catalyseur à un changement dans une ré gion où sont entretenus les ressentiments. C'est dans
cette région qu'étaient recrutés les terroristes qui souhaitent tuer des Américains et nous
chasser de certaines parties du monde afin d'imposer leur volonté . Je suis quelqu'un qui raisonne
à long terme et je vois le chemin que nous devons emprunter. A certa ins moments, il se peut
que l'on soit en désaccord avec quelques-unes de ces décisions. Mais l'importa nt, c'est d'arriver
au bout de ce chemin. Et mon boulot, en tant que Président, est de voir de façon claire où je
veux aller, de maintenir le cap et de rester déterminé à accomplir cette vision.
- Votre politique n'a-t-elle pas été plus difficile à mettre en oeuvre que pré vu,
comme semblent l'attester la poursuite des violences en Irak et l'incapacité à résoudre
le conflit israélo-palestinien ?
D'autres Etats sont frappés par des troubles ... Mais la principale source de violence en
Irak, aujourd'hui, c'est que ce pays est sur le chemin de la liberté. Le combat est diffi cile, et je
vois clairement ce que l'Amérique doit faire. En tant que Président, je suis prêt à tenir une
position très ferme et à appeler les autres à se joindre à nous, que cela plaise ou non. Et si
certains n'aiment pas faire le sale boulot, l'Amérique, elle, doit le fa ire comme elle l'a fa it par le
passé. J'ai rappelé qu'après la Seconde Guerre mondiale, nous aurions pu laisser l'Allemagne au
milieu de ses décombres. Nous aurions pu dire «Oh ! ce tra vail est trop dur» . Non, nous avons
maintenu le cap et aujourd'hui l'Europe est libre et en paix, ce qui est conforme aux inté rêts des
Etats-Unis et à leur sécurité . Après la Seconde Guerre mondiale, nous aurions pu aussi, à
propos du Japon, dire «Oh ! les Japonais n'auront jamais de société libre et démocratique».
Heureusement, nous avions à l'époque des visionnaires à la tête du gouvernement. .. Ils croyaient
dur comme fe r en leur système de valeur. Aujourd'hui, le Japon est un pays démocratique. Son
Premier ministre et moi sommes proches l'un de l'a utre, et nous travaillons ensemble pour que
l'Extrême-Orient reste aussi paisible que possible. En d'autres termes, gouverner ne veut pas
forcément dire rechercher le consensus général. En ce qui me concerne, je continuerai à gouverner
aussi longtemps que je serai à la Maison-Blanche car je crois en ce que nous fa isons et je crois
en ces va leurs pour lesquelles l'Amérique s'est toujours dressée.
- Les présidents américains ont-ils l'obligation de défendre l'Eta t dsraël ?
Oui, je le crois. Parce qu'Israël est à la fois un vieil ami et un pays démocratique. Je pense
qu'il est de la responsabilité des Etats-Unis de défendre cet ami.
- Au risque d'être accusé d'une politique pro-israélienne ?
- Je réponds à cela que je suis le premier président des Etats-Unis à s'être levé, aux
Nations unies, pour réclamer fa ce au monde entier la création d'un Etat palestinien vivant en
paix aux cô tés d'Israël. Je vois l'émergence d'un Etat palestinien. Il est clair que lorsque je
parlais de 2005, j'espérais que l'échéance serait respectée (NDLR : la «feuille de route», initiée
par Washington, prévoyait un calendrier en cinq étapes et devait aboutir à la création de l'Etat
palestinien en 2005). Malheureusement, nous connaissons un contre-temps dû à toute cette
violence et au remplacement d'Abou Mazen, l'ancien Premier ministre de l'Autorité palestinienne.
22
Amérique f AMep1Ka
devoir vt ÔbiTb AOn>KHbiM
diriger ynpasnTb; pyKoBOATb
inteiew f 1HTepBb
exclus! if, -ive adj 1C41TenbHbll
minute f MHyTa
balayer vt, vi MeCT; cMeTaTb
critique f Kp1TKa
concerner vt 1MeTb OTHOWeHe K
politique f nonTKa
Moyen-Orient - 6nH1 BocTOK
défendre vt 3a1aTb
gestion f ynpasneH1e; 3aBeAOBaHe
crise f npCTYn; np1naAOK
irakilen, -enne adj 1paKCK1
dire cKa3aTb; rosop1Tb
déteiné adj onpeAenëHHbll
concrétiser vt KOHKpeT31posaTb
vision f npeACTasneH1e, B3A
président m npe31AeHT
américlain, -aine adj aMepKaHCK1
juger CYA1Tb; C41TaTb, nonaraTb
événement m co6biTe
correspondre vi cooTBeTCTBOBaTb
aujourd'hui adv ceroAH
prévoir vt npeAB1A8Tb
troubler vt cMyaTb; sonHoBaTb
violence f c1na; pe3KOCTb
Irak m paK
travail m pa6oTa, TPYA
dirigeant m PYKOBOA1T8nb
optimiste adj onTM1CT4Hbll
pleine adj nonHbll
espoir m HaAe>a
fonder OCHOBbiBaTb
ceain adj HeKOTOpbll ; H8KOTOpble
nombre m 41Cno
principe m npH1n; npas1no
force f c1na
droit m npaso
traitement m o6paeHe
juste adj cnpaBeAn1Bbll; npasnbHbll
équitable adj cnpaBeAn1Bbll
refuser OTKa3biBaTbC
abandonner ocTaBnTb; noK1AaTb
pression f AasneHe
exercer vt ocyecTBnTb; oKa3biBaTb
même si - Aae ecn1
déplaît Vi He HpaBTbC
ceux-là - 3T
apprécier OeHBaTb
davantage adv 6onbwe
monde mM1p
paix fM1p; nOKOI, CnOKOICTBe
grâce à - 6naroAap
volonté f son
Etats-Unis m pl C W A
luer vi contre 6opOTbC npoTB
œuvrer vi pa6oTaTb
société f o6ecTBO
libre adj CBOÔOAHbll
Etat palestinien - nanecTHa
seir cnyTb
cataleur m KaTan3aTop
changement m 13MeHeHe
ré gion f o6naCTb; M8CTHOCTb; per0H
où adv, pn rAe; KyAa
entretenir noep1BaTb
ressentiment m 3nonaMTHOCTb
recruter sep6osaTb; np1sneKaTb
terroriste m TeppopCT
souhaiter enaTb
tuer vt y61saTb
chasser vt rHaTb, nporoHTb
paie f 4aCTb
afin de, afin que - Toro) 4T06bl
imposer HaB3biBaTb; 3acTaBnTb
volonté f son
quelqu'un pron KTO-TO
ra isonner vi paccy�aTb
à long terme - Ha AOnr1 cpoK
voir Vf B1A8Tb; CMOTp8Tb
chemin m AOpora; nYTb
emprunter 3aMCTBOBaTb
moment m MOM8HT; MHYTa
il se peut - B03MO>KHO
désaccord m pa3Hoace
décision f peweHe; nocTaHosneHe
impoant adj saHbll; 3Ha41TenbHbll
arriver vi npe3aTb, np6biBaTb
bout m KOHe Kpal
boulot m pa6oTa
en tant que - B Ka4eCTBe
façon f MaHepa, cnoco6
clair adj cseTnbll
vo uloir vt xoTeTb, enaTb
aller vi 1AT1; exaTb; XOA1Tb
maintenir vt noep1BaTb
cap m Kypc
rester vi ocTaBaTbC
accomplir cosepwaTb
plus adv 6onbwe
diicile adj TPYAHbll, Tënbll
mere en oeuvre - C03AaTb
comme semblent - KaK KaeTC
aester CB1AeTenbCTBOBaTb
pouuite f npecneAOBaHe; noroH
incapacité f Hecnoco6HOCTb
résoudre pewaTb
conflit m KOHn1KT, CTOnKHOBeHe
état m roCyAapCTBO; WTaT
frapper nopaaTb, t3yMnTb
trouble m CMTeH1e; cMyeHe
principal adj aBHbll
source f 1CT04HK
pays m cTpaHa
libeé f CBOÔOAa
combat m6ol
clairement adv CHO
faire AenaTb
prêt adj rOTOBbl
te nir AepaTb
position f nonoeH1e; no311
ferme adj KpenK11; TBëpAbll; CTOIK1
appeler np13biBaTb
se joindre v pr npcOeA1HTbC
plaire vi HpaBTbC
aimer vt n61Tb; HpaBTbC
sale adj rp3Hbll
passé m npownoe
rappeler vt HanOMHaTb
après prép nocne; 3a
la Seconde Guerre mondiale
BTopa M1posaH soHa
laisser vt ocTaBnTb
au milieu - B cepeA1He, nocpeA
décombres m pl pa3sanHbl; o6noMK
travail m pa6oTa, TPYA
trop adv ( c npun u Hape) cnWKOM
dur adj ëCTK1, TBëpAbll
Europe f Espona
conforme adj COOTB8TCTBY11
intérêt m 1HTepec
sécurité f 6e3onacHOCTb
23
aussi adv Toe; Tae
à propos de - no noBOAY
Japon m noH
Japonais, -e m, f noHe, nOHKa
jamais adv HKOrAa
démocratique adj AeMoKpaT4eCK1
heureusement adv K C4aCTb
époque f 3noxa, speM
visionnaire m aHTa3ep
à la tête - so ase
gouvernement m npaBTenbCTBO
croire vt AYMaTb, C41TaTb, nonaraTb
fer m ene3o
système m CCTeMa
valeur f 8HHOCTb; CTOMOCTb; 8Ha
Premier ministre - npeMbep-MHCTp
proche adj 6n3K1
l'un de
l'autre
- APYr K
APYry
travailler vi pa6oTaTb
ensemble adv BMecTe
l'Extrême-Orient - AanbH1 BocToK
paisible adj MpHbll; cnoKoiHbll
possible adj B03MOHbll
en d'autres tees - 1Ha4e rosop
gouverner vt npaBTb, ynpasnTb
forcément adv o63aTenbHO
rechercher 1CKaTb
consensus m coac1e
général adj o61; sceo61
continuer npoAOnaTb
longtemps adv AOnro
Maison-Blanche - 6enbll AOM
toujou adv scerAa
se dresser scTasaTb
obligation f OÔ3aHHOCTb
parce que - noToMy 4TO, TaK KaK
Israël m 3pa1nb
à la fois - cpa3y, OAHOBpeMeHHO
vieil ami m cTapbll APYr
re sponsabilité f OTB8TCTB8HHOCTb
au risque de - pCKY
accusé m, f o6BHeMbll
répondre OTBe4aTb
premiler, -ère adj nepBbll
se lever v pr nOAH1MaTbC ; scTaBaTb
Nations unies - OOH
réclamer vi npoTecToBaTb
face à - n0M K
entier adj enbll
création f c03AaH1e; TBopeHe
vivre vi , vt Tb
à cote (de) - pAOM (c)
émergence f coac1e
il est clair que - CHO, 4TO
loque conj KOrAa
espérer , vi HaAeTbC
échéance f cpoK nnaTea; cpoK
respecter ysaaTb
NDLR - np1Me4aHe peAaK11
fe uille de route - nYTeBol n1cT
initier nocBaTb; np1o6aTb
Washington f BawHOH
calendrier m KaneHAapb
cinq adj nTb; nTepo
étape f3Tan; nepexoA
aboutir vi à npBOA1Tb K
malheureusement adv K coaneH
connaitre 3HaTb; 6b1Tb 3HaKOMbiM
contre-temps m npenTCTBe
re mplacement m 3aMeHa; 3aMeeHe
ancilen, nne adj 6biBW1
autorité f snacTb
LE MONDE 18/05/04
La
circu laire sur le voile est adoptée par SCE
Le Conseil supé rieur de l'éducation (CSE) a adopté,
lundi 17 mai, le projet de circulaire d'application de
la loi du 15 mars interdisant le port de signes
religieux ostensibles à l'école.
Le ministre de l'éducation nationale, François Fillon,
s'est fé licité de ce "vote positif, plus massif que sur le
texte de loi lui-même". Le CSE, instance consultative où
siègent les acteurs de l'éducation nationale (enseignants,
chefs d'établissements, parents, etc.) a adopté la circulaire
par 26 voix pour, 8 contre, 6 abstentions et 25 refus de
vote. En janvier, le vote sur la loi avait été acquis de justesse avec 16 voix pour et 9 contre.
L'UNSA-éducation, deuxième fédération de l'éducation, qui s'était abstenue en janvier,
a approuvé la circulaire, rejoignant son syndicat des chefs d'éta blissements, le SNPDEN,
fervent partisan d'une loi, tandis que le Syndicat des enseignants (SE) était réservé .
"La première version du texte, qui autorisait dans certaines circonstances
les tenues traditionnelles, était calamiteuse. Mais grâce à la concertation
et au dialogue engagés par le ministère, la circulaire a évolué de manière
satisfaisante", a remarqué Patrick Gonthier, secrétaire général de I'UNSA
éducation. Philippe Guittet, le secrétaire général du SNPDEN, a qualifié le
texte de "très positif", jugeant qu'il permettait aux chefs d'établissements
"de prévenir toute forme de contournement".
La FSU et le SGEN-CFDT, première et troisième fédérations de l'éducation, se sont
abstenus."La circu laire est circonscrite à la question du port des signes religieux, a déploré
Gérard Aschieri, secrétaire général de la FSU. Elle n'aborde pas la question du droit des
femmes, de la mixité ou encore du statut de l'Alsace-Moselle." Les trois départements
bénéficient d'un statut dérogatoire à la loi de 1905 sur la séparation de l'église et de l'Etat.
La principale fédération de parents d'élèves (FCPE) et la CGT ont voté contre la circulaire.
Le président de la FCPE, Georges Dupon-Lahitte, a critiqué "une loi d'exclusion" qui "va
interdire le voile sous le crucifix en Alsace-Moselle".
Par ailleurs, le Conseil français du culte musulman (CFCM) a exprimé, le même jou dans un
communiqué, "son désaccord quant à la mise en œuvre de l'application de la loi à travers certaines
modalités de la circulaire d'application". Il considère que le texte sur la laï cité ne peut pas être
interprété "comme une interdiction générale et absolue de tout couvre-chef" et invite ses conseils
régionaux "à intervenir pour la défense des jeunes filles qui seraient exclues".
L'EXPRESS 12/07/2004
Fou lard: fichue rentrée?
L'UOIF, première organisation musulmane, ne fait
rien pour décourager les élèves de se présenter
voilées en septembre
C'était à prévoir. A l'heure des dos nus, des Bikini
et du farniente estival, les zélotes de l'islam voilé refont
parler d'eux pour mieux préparer la rentrée. Tro is mois
après la parution du décret d'application de la loi sur la
laï cité à l'école, l'Union des organisations islamiq ues de
France (UOIF) frappe fort : elle invite ses ouailles du sexe
fé minin à se présenter en classe, en septembre prochain, dans «la tenue qu'elles auront
choisi de porter» . En clair, coiffées - ou non - du foulard. Et si ce fichu «devait poser
problème», l'organisation de tendance rigoriste s'engage à mettre à leur disposition une
«assistance juridiq ue» ainsi qu'un «soutien scolaire en cas d'exclusion». A ceux qui auraient
fi ni par se perd re dans ce long feuilleton du voile à l'école, rappelons que la loi interdit «les
signes et tenues dont le port conduit à se fa ire immédiatement reconnaî tre par son
appartenance religie use». Les chefs d'établ issement n'ont pas fini d'en voir.
24
circulaire m �1pymtp
voile m eyanb; 3à. napaHAa
adopter npHTb (3aKoH 1 T. n.)
Le Conseil supérieur de l'éducation
(CSE ) m 8biCW1 COBeT no o6pa30BaH
examen m 3K3aMeH, 3a4ëT
passage m nepexoA
réussir vi, A061BaTbC
lundi m noHeAebHK
mai mMa
projet m npoe; nnaH
application f npMeHeHe
loi f3aKOH
mars m MapT
interdire 3anpeaTb
po m HOW9He
signe m 3HaK; np13HaK
religileux, -euse adj pen1r03Hbl
ostensible adj BHbl
école f wKona
derniler, -ère adj noeAH1; npobl
étape f 3Tan; nepexoA
avant prép AO; nepeA; npee
son a (sa, ses) ero; ceo
publication f ny6n1 Ka�1; 13AaHe
bulletin m 6nneTeHb; CBOAKa
oiciel, -le a o1�abHbl
rentrée f Ha4ano y4e6Horo roAa
ministre m M1HCTP
national adj Ha�0HabHbl
se féliciter P8AOBaTbC
vote m ronocoeaH1e; ronce
positif adj nonoTebHbl
plus ... que adv 6onee ... 4eM
massif adj MaCCBHbl; MaCCOBbl
sur prép o; no; 13; 3a ;HaA; Ha
texte m TeKCT
lui-même pn oH caM, 1M caMM
instance f 1HCTaH�
consultatlif, -ive adj KOHCYbTaTBHbl
où adv, pron rA e, yAa; KOrAa
siéger vi 3aCeAaTb
acteur m 30. AeTeb
enseignant m npenoAaBaTeb
chef m Ha4abH1K,pyKOBOAT9b, maea
établissement m Y4PeeHe; 3aBeAeHe
parent m p/ pOA1Te1
etc. (coKp. et cetera) 1 T. A· ( TaK Aaee)
voix f ronoc
le pour et le contre - 3a 1 npon1e
abstention f 3A. Te, O B03Aepanc
refus m OTKa3
janvier m Heapb
acquérir npo6peTaTb
justesse fT04HOCTb; npaBbHOCTb
avec prép c; meopum n 6e3 npeànoea
UNSA - roc. o6beA1H9He npoCO30B
deuxième adj BTopo
fé dération f eAepa�
abstenir (s') v pr B03Aep>KBaTbC
approuver OA06pTb
rejoindre np1coeA1HTbC
syndicat m npoc03; c03; o6beAHeHe
SNPDEN - roc. npoco3 PYKOBOATee
6pa30BaH
feent adj peBHOCTHbl, pbl, pbHbl
paisan m CTOpOHHK
tandis que e To epeM KaK; noKa
réseer npeAHa3Ha4aTb
premiler, -ère adj nepBbl
version f eepc1
autoriser pa3pewab
ceain adj H9KOTOpbl; HeK1
circonstance f o6cTOTebCTBO
tenue f OAea; opMa
traditionnel, -le adj TPaA1�10HHbl
calamiteux, - euse adj 6eACTBeHHbl
mais co Ho; a
grâce à - 6naroAap
conceation f comacoeaHe
dialogue m A1anor
engager Ha41HaTb
ministère m MHepcTeo
évoluer vi MeHTbc; AB1raTbC
manière f MaHepa; o6pa3
satisfaisant adj YAOBeTeop1TebHbl
remarquer 3aMe4aTb
secrétaire m général reH. ceeTapb
qualifier KBa1�1pOBaTb
très adv o4eHb
juger CYA1Tb; C41TaTb, nonaraTb
permere à qn de faire qch pa3pewaTb
K.-. CAeaTb 4TO-..
prévenir npeAynpeaTb
tout (ftoute, m pl tous, f pl toutes) adj eecb
forme f opMa
contournement m o6xoA
exclusion f 1C4eHe
FSU - EAHa eAepa41 npoco30B
SGEN-CFDT - eAepa� reHepabHbiX
npoco3oe o6pa3oBaH 1 HayK
troisième adj TpeT
circonscrit,-e p.p. orpaH4eHHbl
déplorer coaeTb
aborder qch npcn1Tb K
droit m npaeo
femme f >K9H1Ha
mixité f H90AHOPOAHOCTb
encore adv eë
statut m nonoeH1e; cTac
l'Alsace-Moselle - a. b3ac-Mo3eb
trois adj Tp1; Tpoe
bénéficier vi nony4aTb BblrDAY
dérogatoire adj COAepa oroeopy
séparation f pa3AeneH1e; OTAeeHe
église f 49PKOBb
état m rocyAapcTeo
principal, -e adj maeHbl
FCPE - eAepa�1 pOATebCKX
KOMT9TOB 06e06pa30BaTebHbiX WKO
CGT - Bceo6a KOHeAepa� TPYAa
voter vi, ronocoeaTb ·
président m npe31AeHT; npeACeAaTeb
critiquer Kp1TKOBaTb
aller + in = co61paTbC
sous prép noA; np1
crucifix m pacnTe (KpeCT)
par ailleurs c Apyro OpOHbl
français adj paH�Y3CK
culte m bT
musulmlan, -ane adj MYCYbMaHCK
Conseil m français du culte musulman
(CFCM) paH4Y3CK CoeeT
Mycy bMaHCTBa
exprimer BblpaaTb
même adj (nepeA cy) (OA1H 1) TOT e;
jour m A9Hb
communiqué m o�anbHoe coo6eHe
désaccord m Hecoace, nposope4e
quant à - 4TO KacaeTc
mere en œuvre - npMeHTb; cnonb30BaTb
à travers - CKB03b, 4epe3
modalité f ycnoe1e
considérer C4 1TaTb, nonaraTb
laïcité f ceeTCK xapaep
pouvoir M04b
être vi 6b1Tb
interpréter 1HTepnpeT1poeaTb
comme adv, conj KaK
interdiction f 3anpeeHe, 3anpeT
absolu, a a6conTHbl
couvre-chef m ronoeHo y6op
inviter à no6y>aTb
régional, -e adj per0HabHbl
inteenir vi BMeWBaTbC
défense f 3aTa; o6opoHa
25
jeune fille f AeeywKa
exclure 1CK4aTb
Foulard islamique - y1
fichu adj yaCHbl, Henp1THbl
UOIF
organisation f opraH13a41
faire AeaTb
rien pn (c oTp1�aHeM) H4TO, H4ero
pour pp A; 3a; Ha; e; 4T06bl
décourager np1BOA1Tb e YHbiHe
élève m Y49HK, y4ac
se présenter v pr BTbC
VOiler 3aKpb1BaTb; CKpbiBaTb
septembre m ceHT6pb
prévoir npeABA9Tb; npeAyCMaTp1 BaTb
à l'heure de - eo epeM
dos m cn1Ha
nu adj robl
bikini m 6KH
farniente m 6e3A9be
estival a neTH
zélote m 1CT. 3enoT
islam m 1cnaM
refaire CHOBa 3aCTaBTb
parler vi , d'eux 30. roeop1Tb o ce6e
mieux adv ny4we
préparer roTOBTb
mois m Mec�
après prép nocne; 3a
parution f du décret BbiXOA
nOCTaHOBeH
Union f des organisations islamiques de
France (UOIF) Co3 cnaMCKX opraH3aiH
BO paH�
frapper nopaaTb, 13YMTb
fo adv CbHO
ouailles pl nacTea
du sexe féminin - ecKoro nona
se présenter BTbC
classe f Kacc
prochlain, -aine adj C9AY; 6YAY1
dans pp e
que pn KOTOpbl
elle pn oHa
choisir de Bbl61paTb
poer H9CT1; HOCTb
en clair- B CB9T0M, B 6eOM
coié de nobiTble
ou non - 1 HeT
si conj ecn1
fichu m KOCbiHKa, naTOK
devoir 6b1Tb AOHbiM
poser problème - C03AaBaTb npo6neMbl
tendance fT9HA9H41; COHHOCTb;
HanpaB9H9 (B nO1TKe,
rigoriste adj p1rop1CT49CK
s'engager v pr à o63biBaTbC
mere à sa disposition - nonyTb e
ceoë pacnopeHe
assistance f noMOb; coAeCTBe
juridique adj p1A1ecK
ainsi que- TaK e, KaK
soutien m nOAAepKa; onopa
scolaire adj WKObHbl, ye6Hbl
en cas de - e cnyae
à ceux qui - 30. TeM O
finir par - 30. B KOH�e KOH�OB
se perdre v pr TepTbC
lonlg, -gue adj A1HHbl
feuilleton m cepa
rappeler HanoMHaTb
dont pn KOTOpbl
conduire à eeCT K ...
se faire reconnaître -noJson ce6 yJHa
par son appaenance religieuse - no
ceoe penr03Ho np1HaAeHOCT
établissent m YPeeH1e; 3aBeAeHe
VOir BA9Tb; CMOTpeTb
LE MONDE 20/05/04
M. Giscard d'Estaing : trente ans après l'élection
De l'art d'utiliser des leurres. 12 h 45, mercredi 19 mai :
une voiture s'arrête au bas du perron de la Maison de l'Amérique
latine, où la giscardie fête le trentième anniversaire de l'élection
de "VGE" à I'Eiysée en même temps que la fin de sa carrière
politique, scellée par son entrée au Conseil constitutionnel .
C'est Anne-Aymone Giscard d'Estaing qui so du véhicule.
L'épouse de l'ancien président est une cible de choix pour les
journalistes, photographes et cameramen qui font le pied de
grue. Profita nt de la bousculade, l'ancien président de la
Ré publique, arrivé à pied, se fa ufile à l'intérieur. Après une forte présence médiatique, M. Giscard
d'Estaing avait décidé, pour le jour J, de réseer ses propos à ses hô tes : ceux qui ont
participé à la campagne de 1974 et ses anciens collaborateurs à I'Eiysée. L'ancien chef de l'Etat
pouvait com pter sur quelques-uns de ses 200 invités pour relayer ses messages. Fin pédagogue,
le nouvel académicien reste un adepte de la simplicité et de la clarté dans l'expression.
Un maî tre mot s'est donc rapidement échappé du huis clos : le 19 mai 1974, a-t-il dit,
fut pour lui un "jour de bonheur". "Trente ans après, on retro uve ce goût de bonheur qui a
résisté et rafraî chi au passage du temps", a-t-il poursuivi, concluant son propos en souhaitant
que la Fra nce retrouve, elle aussi, "le goû t du bonheur". Reprenant cette antienne, la plupart
des invités, tels le secrétaire d'Etat au budget, Dominique Bussereau, ancien dirigea nt des
Jeunes gisca rdiens, ont exprimé leur propre "bonheur" de participer à ces retrouvailles.
"C'est un moment de fête", a confié Anne-Marie Raffarin. Originaire du Puy-de-Dô me - le fi ef
électo ra l de M. Giscard d'Estaing, l'épouse du premier ministre, organisatrices de ces agapes
nostalgiques, est un membre actif de Giscardisme et modern ité, club créé en 1998 pour
réhabiliter le septennat de "VGE". "Travailler avec lui vous tire vers le haut", témoigne-t-elle,
intarissable sur !"'intelligence" de l'ancien président. Doit-on s'en inspirer pour gouverner ?
"Je ne suis pas aux affa i res", élude-t-elle en souriant.
Arrivé à 13 h 35, Jean-Pierre Raffa rin quitte les lieux plus d'une heure après. "Comme
vous le savez, je suis un ami des présidents de la République", souligne-t-il. Ancien secrétaire
général des Jeunes giscardiens, le chef du gouvernement n'a jamais re nié cet engagement,
même après avoir ra llié Jacq ues Chirac, au début de 1995. Dans les jardins, M. Raffa rin a pu
croiser son ancien conseiller en communication, Dominique Ambiel, autre vieille relation
giscardienne, qui avait dû démissionner en avril sous le coup de poursuites judiciaires dans
une affa ire de mœurs. "Je suis fidèle", a déclaré M. Ambiel pour justifier sa présence. Plusieurs
personnalités de l'audiovisuel étaient là, dont l'ancien président de Fra nce Té lévision Xavier
Gouyou-Beauchamps et Patrick Poivre d'Arvor. Giscard ? "C'était le meilleur", a assuré l'ex
patron de Peugeot, Jacques Calvet. "Il a été plus près du peuple qu'on ne l'a dit", ajoutait le
député (UMP) Jean-Jacques Descamps, dont l'épouse, la députée européenne Mylène
Desca mps a renchéri : "On croit toujours qu'il est froid, mais c'est un senti menta l." Un
homme en est visiblement persuadé : l'ancien chauffeur de "VGE". Agé de 84 ans, il s'éclipsait
discrètement, appuyé sur une canne, quand les journalistes l'ont rattrapé. Mais il était trop
ému pour parler de son "ami".
EXPRESS 21/05/04
Charles Aznavour: des projets pour vingt ans
Du haut de son mètre 65, Charles Aznavour, le plus petit des
géants de la chanson française, fête samedi sur la scène du palais de
Congrès, à Paris, ses 80 ans et l'apothéose d'une carriè re de plus
d'un demi-siècle. J'a rrêterai de chanter le jour où je ne pourrai plus
monter sur scène", déclarait Charles Aznavour à l'AFP en novembre
2003. Son ambition, assure-t-il, c'est qu'on puisse écrire sur sa tombe:
"Ici repose l'homme le plus vieux du cimetière". A l'approche de ce BOe
anniversaire, celui que la presse surnomme le "prince Charles" déborde
d'activités. Non content d'enchaî ner chaque soir vieux succès et
chansons nouvelles sur la scène du palais des Congrès, il vient de publier chez Flammarion
"Le temps des avants", une autobiog raphie qu'il a, souligne-t-il, écrite lui-même.
28
travail m pa6oTa, TPYA
syndrome m CIHAPOM
mais conj Ho; a
pour prép An; 3a; Ha; e; 4T06bl
le meilleur- caMbl ny4WI, Ha1ny4w1
cela va de soi - 3TO caMo co6o
pa3yMeeTC
L'Agence européenne pour la Sécurité
et la Santé au Travail - EeponecKoe
ynpaeneHIe no oxpaHe 1 6e3onacHOCTI
TPYAa
préparer roTOBITb
vaste campagne f o6wlpHa KaMnaHI
prévention f npeAynpe>eHIe
accident m Hec4aCTHbl cny4a
ambition f HaMepeHIe
avouer npi3HaeaTb
sauver cnacaTb
vie fI3Hb
éviter 136eraTb
grave adj Tënbl ( o 6one3HI 1 T. n.)
la plus - caMa
l'Union européenne - Eepoco3
jamais adv KOrAa-nl6o; KOrAa-HI6YAb
entreprendre npeAnpiHIMaTb
réduire coKpa�aTb, yMeHbWaTb
COÛt m CTOIMOCTb
humlain, -aine adj 4enoee4eCKI
financier adj iHaHCOBbl; AeHeHbl
résulter vi de 6b1Tb pe3ynbTaToM;
cneAoBaTb
inobseation f Heco6nAeHIe
règles pl de sécurité - npae1na no
TeXHIKe 6e30naCHOCTI
paiculièrement adv oco6eHHO
secteur m ceKTop; y4aCToK; MecTo
construction f cTpOITenbCTBO
retenu - Ha3Ha4eHHbl
mais pas seulement - HO He TOnbKO
industrie f IHAYCTpl, npoMblwneHHOCTb
Chimique a XIMI4eCKI
mécanique adj MexaHI4eCKI
notamment adv B 4aCTHOCTI, IMeHHO
peser lourd - IMeTb 6onbwoe.
pewa�ee 3Ha4eHIe
balance f eecbl
action f nocrynoK; AecTBIe
donc conj, paie 3Ha41T; ITaK
concentrer KOHeHTplpoeaTb
thème mTeMa
puisque conj nocKonbKY; pa3; TaK KaK
décliner OTKnOHTb; OTKa3biBaTbC
objectif m enb
construire cTpOITb , coopyaTb
en toute sécuté - B nonHo 6e3onacHOCTI
oppolun, -une adj ceoeepeMeHHbl
chantier m cTpoKa
olympique adj on1MnlCKI
Athènes f AI Hbl
par exemple - HanpiMep
faire AenaTb
mo f cMepTb
entre prép Me>y
fin fKOHe
temps m epeM
fo a ClnbHbl
semaine f HeAen
prévue - npeACMOpeHHb\�
octobre m OKT6pb
tout cela - ecë 3TO
simultanément adv OA HOBpeMeHHO
plus adv 6onbwe
élément m 3neMeHT; COCTaBHa 4aCTb
déjà adv ye
disponible adj Hani4Hbl, ceo6oAHbl
site m 1HTepHeT-caT
dans toutes les langues-Ha sx �3b1Kax
• même pas mal - coeceM He nnoxo
homme m MY1Ha
mieux adv ny4we
protéger contre 3a�1�aTb OT
femme f eH�IHa
douleur f physique l314eCKa 6onb
d'après - (CYA) no
etude f 13y4eHIe; ICCneAOBaHIe
mener npoBOAITb
chercheur m lccneAOBaTenb
américain, -aine adj aMepiKaHCKI
moineau m eopo6e
testostérone m TecTepoH
permere pa3pewaTb, no3BOnTb
mâle m caMel
encaisser TepneTb, CHOCITb
grâce à - 6naroAap
effet m AelcTBIe; pe3ynbTaT
analgésique adj 6oneyTon�II
procurer vtAOCTaBnTb; npeAOCTaBnTb
hormone f ropMoH
masculin adj MycKol
Princ
e
ton University f npiHCTOHCKII
YHIBepCITeT
New Jersey - Hb-epcl (aT)
collègue m Konnera
tremper M041Tb; o6MaKIBaTb
patte f nana; Hora
plus ou moins - 6onee 1n1 MeHee
chaud adj Tënnbl; rop41; apKI
plus ... plus -eM 6onbwe, TeM 6onbwe
oiseau m nTIa
retirer 13BneKaTb; BbiHIMaTb
rapidement adv 6biCTpo
ressentir 4YBCTBOBaTb, o�y�aTb
vif adj ClnbHbll; pe3KII
expliquer o6bCHTb
publier ony6niKOBbiBaTb; 13AaBaTb
conclusion f 3a4eHIe
revue f >PHan
tester TeCTIpoeaTb
ceain adj HeKOTOpbll; HeKII
recevoir nony4aTb
via prép 4epe3
implant m Tpy6Ka
fixé a 3aiKC1pOB8HHbl
dans le dos - Ha cn1He
laisser faire trempettno3BOnTb
06MaKHytb
trois fois - Tpl pa3a
plus longtemps que - AOnbwe 4eM
leur adj, pn (p� 1x; ceol
comparse m 3A. copOA14
à l'inverse - Hao6opoT
traité avec 3A. nony41BWIe
substance f ee�ecTeo
bloquant adj 6nOKIPY�II
action f AecTBIe
devenir vi AenaTbC, CTaHOBITbC
douiilet m HeeHKa
dès prép c (caMoro), Ha41Ha c;
entrainer noene4b 3a co6ol; Bbi3BaTb
production f npo13BOACTBO
accru adj yeenl4eHHbll
neuropeptide m HeponenTIA
impliquer y4aCTBOBaTb
fraatement m ne4eHIe
système m nerveux central - WHC
enképha\\ne f 6uon.
3He�anH
peptide m XIM. nenTIA
opioïde endogène - 3HoreHHbl om1o
mimer noApa>KaTb
morphine f Mopll
réduire COKpa�aTb, yMeHbW8Tb
sensation f o�y�eHIe
reste à - ocTaëTC
vérifier npoeepTb
ce adj (cet, cette, ces) 3TOT
mécanisme m MexaH13M
27
bien à l'œuvre - xopowo pa6oTaeT
chez l'homme -y 4enoeeKa
Europe f Eepona
trop adv (c npun u Hape) cniWKOM
enfant m pe6ëHoK
victime f epTea
environnement m OKpya�a cpeAa
malsain, adj epeAHbll An 3AOPOBb
millier m Tb1C4a
européen, -enne adj eeponelcKII
mourir vi yMIpaTb
encore adv e�ë
à cause de - 13-3a, no np141He
pollution f 3arp3HeHIe
intérieur adj BHyTpeHHII
maison fAOM
manque m HeAOCTaTOK, HeXBaTKa
eau f potable niTbeBa BOAa
souligner nOA4ëpKIBaTb
rapport m OT4ëT; AOKnaA; panopT
santé f 3AOPOBbe
réaliser ocy�ecTBnTb; BblnonHTb
l'Organisation mondiale de la Santé -
BceMIpHa opraHI3al
3ApaeooxpaHeHI
route f AOpora; nyTb
ou conj 1n1; MOeT
domestique adj AOMaWHII
responsable adj BIHOBHbl
tiers m TpeTb
décèS m KOH41Ha, CMepTb
âgé, -e adj de B eo3pacTe
qui pn KOTOpbll
étudier Y41Tb; 13y4aTb
quatre adj 4eTblpe; 4eTeepo
autre adj, pn Apyrol
facteur m aKTop
environnemental adj 3Konorl4eCKII
pollution f atmosphériqu3arp3HeHIe
aTMocepbl
tuer y61eaTb
par an - e roA
plus grave - xye
du à - Bbi3BaHHbl
système m de chauage ccMa
OTOnneHI
obsolète adj ycTapeew1
moalité f CMepTHOCTb
toucher , vi nepeH KacaTbC
pays m cTpaHa
les plus pauvres - ca Mble 6eAHble
il en va de même pour- Aeno TaKe
KacaeTc
problème m npo6neMa
lié à - CB3aHHbll C ...
qualité f Ka4eCTBO
eau feoAa
compter , vi pour HaCC41TbiBaTb
annuel adj eeroAHbll, rOAI4Hbll
notamment adv B 4aCTHOCTI, IMeHHO
diarrhée f no Hoc
dans prép ( o MecTe) e; Ha
revue f >KY PHan
destiné - à npeAHa3Ha4eHHbl An�
chef m Ha4anbHIK,
pyKOBOAITenb,
aea
gouvernement m npaBITenbCTBO
aller + inf co61paTbC
se retrouver v pr ecpeabC�
juin m lHb
B.u dapest [bydapEst] m 6yAaneWT
4
e
- 4eTeëpTa
- conférence f KOHepeHI
ministérielle adj Ha MIHICTepcKOM
ypoeHe
réunion f co6paHIe
devoir 6b1Tb AOnHbiM
déboucher vi sur BbiXOAITb (Ha, K)
plan m d'action - nnaH AeiCTBII
LE MONDE 20/05/04
M. Giscard d'Estaing : trente ans après l'élection
De l'art d'utiliser des leurres. 12 h 45, mercredi 19 mai :
une voiture s'arrête au bas du perron de la Maison de l'Amérique
latine, où la giscardie fête le trentième anniversaire de l'élection
de "VGE" à I'Eiysée en même temps que la fin de sa carrière
politique, scellée par son entrée au Conseil constitutionnel.
C'est Anne-Aymone Giscard d'Estaing qui sort du véhicule.
L'é pouse de l'ancien président est une cible de choix pour les
journalistes, photographes et cameramen qui fo nt le pied de
grue. Profita nt de la bousculade, l'ancien président de la
République, arrivé à pied, se faufile à l'intérieur. Après une foe présence médiatique, M. Giscard
d'Estaing avait décidé, pour le jour J, de réserver ses propos à ses hô tes : ceux qui ont
participé à la campagne de 1974 et ses anciens collaborateurs à I'Eiysée. ancien chef de l'Etat
pouvait compter sur quelques-uns de ses 200 invités pour relayer ses messages. Fin pédagogue,
le nouvel académicien reste un adepte de la simplicité et de la clarté dans l'expression.
Un maî tre mot s'est donc rapidement échappé du huis clos : le 19 mai 1974, a-t-il dit,
fut pour lui un "jour de bonheur". "Trente ans après, on retrouve ce goû t de bonheur qui a
résisté et rafraî chi au passage du temps", a-t-il poursuivi, concluant son propos en souhaitant
que la Fra nce retrouve, elle aussi, "le goû t du bonheur". Re prenant cette antienne, la plupart
des invités, tels le secrétaire d'Etat au budget, Dominique Bussereau, ancien dirigea nt des
Jeunes gisca rdiens, ont exprimé leur propre "bonheur" de participer à ces retrouvailles.
"C'est un moment de fête", a confié Anne-Marie Raffari n. Originaire du Puy-de-Dô me - le fief
électoral de M. Giscard d'Estaing, l'épouse du premier ministre, organisatrices de ces agapes
nostalgiques, est un membre actif de Giscardisme et modernité, club créé en 1998 pour
réhabiliter le septennat de "VGE". "Travailler avec lui vous tire vers le haut", témoigne-t-elle,
intarissable sur !"'intelligence" de l'ancien président. Doit-on s'en inspirer pour gouverner ?
"Je ne suis pas aux affaires", élude-t-elle en souriant.
Arrivé à 13 h 35, Jean-Pierre Raffa rin quitte les lieux plus d'une heure après. "Comme
vous le savez, je suis un ami des présidents de la République", souligne-t-il. Ancien secréta ire
général des Jeunes giscardiens, le chef du gouvernement n'a jamais renié cet engagement,
même après avoir rallié Jacques Chirac, au début de 1995. Dans les jardins, M. Raffa ri n a pu
croiser son ancien conseiller en communication, Dominique Ambiel, autre vieille relation
giscardienne, qui avait dû démissionner en avril sous le coup de poursuites judiciaires dans
une affa ire de mœurs. "Je suis fidèle", a déclaré M. Am bi el pour justifier sa présence. Plusieurs
personnalités de l'aud iovisuel étaient là, dont l'ancien président de France Télévision Xavier
Gouyou-Beauchamps et Patrick Poivre d'Arvor. Giscard ? "C'était le meilleur", a assuré l'ex
patron de Peugeot, Jacques Calvet. "Il a été plus près du peuple qu'on ne l'a dit", ajouta it le
député (UMP) Jean-Jacques Desca mps, dont l'épouse, la députée européenne Mylène
Descamps a renchéri : "On croit toujours qu'il est froid, mais c'est un sentimenta l." Un
homme en est visiblement persuadé : l'ancien chauffeur de "VGE". Agé de 84 ans, il s'éclipsait
discrètement, appuyé sur une canne, quand les journalistes l'ont rattrapé. Mais il était trop
ému pour parler de son "ami".
EXPRESS 21/05/04
Charles Aznavour: des projets pour vingt ans
Du haut de son mètre 65, Charles Aznavour, le plus petit des
géants de la chanson française, fête samedi sur la scène du palais de
Congrès, à Paris, ses 80 ans et l'apothéose d'une carriè re de plus
d'un demi-siècle. J'a rrêterai de chanter le jour où je ne pourra i plus
monter sur scène", déclarait Charles Aznavour à l'AFP en novem bre
2003. Son ambition, assure-t-il, c'est qu'on puisse écrire sur sa tombe:
"Ici repose l'homme le plus vieux du cimetière". A l'approche de ce BOe
anniversaire, celui que la presse surnomme le "prince Charles" déborde
d'activités. Non content d'enchaî ner chaque soir vieux succès et
chansons nouvelles sur la scène du palais des Congrès, il vient de publier chez Flammarion
"Le temps des avants", une autobiographie qu'il a, souligne-t-il, écrite lui-même.
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