Toshkent: IFEAC, 2008. - 587p.
Ce dictionnaire fran?ais-ouzbek exprime la volont? d’un homme, le professeur Pierre Chuvin, qui, d?s 1993, a d?velopp? des passerelles culturelles et scientifiques, entre la France et l’Ouzb?kistan, gr?ce ? une structure unique en son genre qu’il a lui-m?me fond?e, l’Institut fran?ais d’?tudes sur l’Asie centrale.
D?s 1993, il a mobilis? toute une ?quipe de sp?cialistes, sans la d?termination desquels ce dictionnaire n’aurait pu voir le jour. Le pr?sent ouvrage est le fruit de ce travail collectif qui a necessit? plusieurs ann?es d’efforts conjoints. Nous sommes convaincus que cet outil rendra d’?minents services aussi bien aux francophones qui de par le monde s’initient ? cette langue turque, h?riti?re du tchagatay, qu’aux Ouzbeks qui souhaitent se familiariser avec la langue de Moli?re.
Nous saluons la patience, la rigueur et la minutie dont nos coll?gues ouzbeks, enseignants dans diff?rents ?tablissements du pays, ont fait preuve pour mener ? bien cette gigantesque entreprise de synth?se linguistique, sans oublier l’engagement ? leurs c?t?s de tout le personnel de l’IF?AC qui a compil? et r?alis? le manuscrit final.
La publication de cette deuxi?me ?dition n’aurait pas ?t? possible sans l’appui du Service de coop?ration et d’action culturelle (SCAC) de l’Ambassade de France ? Tachkent que nous remercions tr?s chaleureusement.
Dans l’esprit, ce dictionnaire, con?u comme un outil de travail ? caract?re p?dagogique, accorde une large place ? des registres de langue qui ne figurent pas souvent dans des ouvrages de cette nature. Les mots ne sont familiers, vulgaires, ou grossiers que par l’usage qu’il en est fait. Au demeurant, les gros mots valent bien les grands mots: le tout est de savoir les utiliser ? bon escient. C’est la raison pour laquelle ils figurent dans ces pages ainsi que certaines touures argotiques ou d’autres expressions et locutions du parler-jeune courant dans nos banlieues.
Par ailleurs, l’?quilibre entre les diff?rentes cat?gories de vocabulaire (scientifique, technique, courant) n’a pas toujours ?t? ais? ? ?tablir. Ce dictionnaire ne pr?tend pas ? la perfection et ? l’exhaustivit?. Son format d’environ 28 mille mots est loin d’?tre d?finitif, mais il permet d’acc?der ? un champ lexical d?j? important.
L’?quipe de l’IF?AC, et tout particuli?rement Xudoyqul Ibraguimov et Ulugbek Mansurov, ont proc?d? ? plusieurs relectures scrupuleuses de l’ensemble du manuscrit. Toutefois, la direction de l’IF?AC assume l’enti?re responsabilit? des erreurs et des imperfections qui subsisteraient dans cette seconde ?dition et implore l’indulgence du lecteur quant ? ce qui ne constitue qu’une des ?tapes d’un projet en perp?tuel chantier.
Avec ce dictionnaire, l’Institut fran?ais d’?tudes sur l’Asie centrale remplit sa mission de promotion et de diffusion de la recherche et du savoir sur sa zone de comp?tence et particuli?rement sur l’Ouzb?kistan, en m?me temps qu’il fouit un outil de dialogue et d’aide ? la coop?ration ? un nombre qu’il esp?re toujours plus croissant de chercheurs, universitaires, ?tudiants et amateurs de nos riches cultures.
Ce dictionnaire fran?ais-ouzbek exprime la volont? d’un homme, le professeur Pierre Chuvin, qui, d?s 1993, a d?velopp? des passerelles culturelles et scientifiques, entre la France et l’Ouzb?kistan, gr?ce ? une structure unique en son genre qu’il a lui-m?me fond?e, l’Institut fran?ais d’?tudes sur l’Asie centrale.
D?s 1993, il a mobilis? toute une ?quipe de sp?cialistes, sans la d?termination desquels ce dictionnaire n’aurait pu voir le jour. Le pr?sent ouvrage est le fruit de ce travail collectif qui a necessit? plusieurs ann?es d’efforts conjoints. Nous sommes convaincus que cet outil rendra d’?minents services aussi bien aux francophones qui de par le monde s’initient ? cette langue turque, h?riti?re du tchagatay, qu’aux Ouzbeks qui souhaitent se familiariser avec la langue de Moli?re.
Nous saluons la patience, la rigueur et la minutie dont nos coll?gues ouzbeks, enseignants dans diff?rents ?tablissements du pays, ont fait preuve pour mener ? bien cette gigantesque entreprise de synth?se linguistique, sans oublier l’engagement ? leurs c?t?s de tout le personnel de l’IF?AC qui a compil? et r?alis? le manuscrit final.
La publication de cette deuxi?me ?dition n’aurait pas ?t? possible sans l’appui du Service de coop?ration et d’action culturelle (SCAC) de l’Ambassade de France ? Tachkent que nous remercions tr?s chaleureusement.
Dans l’esprit, ce dictionnaire, con?u comme un outil de travail ? caract?re p?dagogique, accorde une large place ? des registres de langue qui ne figurent pas souvent dans des ouvrages de cette nature. Les mots ne sont familiers, vulgaires, ou grossiers que par l’usage qu’il en est fait. Au demeurant, les gros mots valent bien les grands mots: le tout est de savoir les utiliser ? bon escient. C’est la raison pour laquelle ils figurent dans ces pages ainsi que certaines touures argotiques ou d’autres expressions et locutions du parler-jeune courant dans nos banlieues.
Par ailleurs, l’?quilibre entre les diff?rentes cat?gories de vocabulaire (scientifique, technique, courant) n’a pas toujours ?t? ais? ? ?tablir. Ce dictionnaire ne pr?tend pas ? la perfection et ? l’exhaustivit?. Son format d’environ 28 mille mots est loin d’?tre d?finitif, mais il permet d’acc?der ? un champ lexical d?j? important.
L’?quipe de l’IF?AC, et tout particuli?rement Xudoyqul Ibraguimov et Ulugbek Mansurov, ont proc?d? ? plusieurs relectures scrupuleuses de l’ensemble du manuscrit. Toutefois, la direction de l’IF?AC assume l’enti?re responsabilit? des erreurs et des imperfections qui subsisteraient dans cette seconde ?dition et implore l’indulgence du lecteur quant ? ce qui ne constitue qu’une des ?tapes d’un projet en perp?tuel chantier.
Avec ce dictionnaire, l’Institut fran?ais d’?tudes sur l’Asie centrale remplit sa mission de promotion et de diffusion de la recherche et du savoir sur sa zone de comp?tence et particuli?rement sur l’Ouzb?kistan, en m?me temps qu’il fouit un outil de dialogue et d’aide ? la coop?ration ? un nombre qu’il esp?re toujours plus croissant de chercheurs, universitaires, ?tudiants et amateurs de nos riches cultures.